Le pas de Niel Armstrong vers sa mort est un lot ordinaire qu’il faut bien admettre...
Il est commun à toute forme de vie ou d’éléments, de l’infiniment petit à l’infiniment grand, quelque soit la forme d’intelligence, quelque soit ses connaissances, du vivant à l’artificiel. Simplement il porte en lui un peu plus d’émotions, qui, même si "Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme" disparaîtront un jour !
En connaître les arcanes serait effectivement un grand pas... à condition qu’il y ait réellement des arcanes de la mort. C’est le propre de l’Homme de chercher là et ailleurs, le tout et le rien, comme la lune et ce pas mythique...
C’est l’Homme qui à crée ses Dieux "prototypes" ou dits "princeps", non substituables par génériques sauf si l’ordonnances le précise :
De cette substantifique moelle il en a tiré l’angoissante et passionnante question :
Et après ? Mais se faisant il à oublié le principal : si cette question n’avait aucun autre sens que le néant...
Les centaines de milliard de galaxies, s’entrechoquent, se transforment en gaz et disparaîtront... Les 234 milliards d’étoiles de notre seule galaxie s’éteindront comme les braises dans le foyer...
Toute matière, quelque soit sa taille, sa forme ou sa composition disparaîtra...
Le rocher deviendra sable, puis poussière, puis....néant...
Notre univers, vieux (du peu qu’on en sache !) de 14 milliards d’années n’est qu’une escarbille dans un espace infini.
Notre prétention à franchir le dernier pas en toute connaissance de cause est ridiculement inverse à la taille du néant ....
Mais il reste nonobstant une question qui, peut être dans un lointain futur, sera à notre portée :
Est ce seulement l’Homme qui s’interroge sur sa fin... ?